26 décembre 2006

Irénisme et Islam



réfugiées afghanes au camp de Shamshatoo (fin 2001)Irénisme: Attitude d'esprit selon laquelle on tolère l'intolérable, par désir exagéré de paix et de conciliation.
Photo Paul Jeffrey ©

En parcourant au hasard la blogosphère, ce ramassis d'un peu tout et «nimportkwa» (et particulièrement ce dernier), je suis «tombée» (1) sur un gugusse pompeux qui, comme beaucoup de français, ne connaît rien grand chose à la langue française, mais s'autoproclame "garde des mots" (ne rigolons pas, SVP !) ..

Ce spécimen de gnangnan politiquement correct (2) et qui prétend expliquer aux autres le sens des mots en les déformant est hélas courant, mais quand même ! Celui-ci n'hésite pas à voir dans l'irénisme une forme plus noble du pacifisme et de la tolérance (sans doute s'est-il rendu compte que le pacifisme bêlant et la tolérance aveugle passent de plus en plus mal, depuis que le monde a compris de quel bois était fait l'islam et qu'il est devenu plus difficile de masquer le terrorisme et l'avalanche de crimes dont se rendent coupables les musulmans partout dans le monde (3)) et n'hésite pas à encenser l'irénisme, qui «serait», je cite, une :
« Attitude de compréhension qui permet d'apaiser les querelles religieuses, classiquement de rapprocher les chrétiens de différentes confessions par-delà leurs divergences»
  1. c'est le cas de le dire : j'aurais pu tomber de ma chaise, tellement j'ai été abasourdie par la déformation que l'on peut donner aux mots, quand on fait partie de cette catégorie qui pullule un peu partout, et que Georges Brassens appelait déjà « les braves gens » : faux-culs, trouillards, menteurs, malhonnêtes et mesquins!

  2. NB: celui qui s'est livré sans fausse honte à ce mensonge cauteleux teinté d'angélisme s'appelle Alain Horvilleur, et le texte incriminé est ici

  3. ainsi par exemple, les musulmans sont responsables de 80% des viols en occident - un phénomène longtemps tenu sous le boisseau par les "PC" - et sont impliqués dans 95% des actes de terrorisme !


Cette diarrhée gnangnan est évidement un contresens total qui aboutit à faire d'un vilain défaut une qualité ! L'irénisme n'a rien à voir avec la compréhension normale que l'on peut avoir envers une religion non sectaire, c'est-à-dire qui respecte l'autre, et notamment l'individu qui n'adhère pas, voire combat cette religion. C'est une forme non de tolérance, mais bien de lâcheté teintée d'aveuglement et d'angélisme, comme tente de le lui rappeler Joël un de ses commentateurs.

Et que répond cyniquement cet imbécile merdeux, non sans impudeur ? :
« J'avais bien entendu trouvé cette référence et décidé de ne pas y faire allusion. »
Autrement dit, ce petit monsieur reconnaît cyniquement qu'il connaît le sens des mots, mais qu'il n'hésite pas à le détourner en pratiquant le « politiquement correct » le plus hypocrite et le plus glauque (le même que celui dont nous abreuvent nos médias à longueur de journées pour endormir le peuple, et lui cacher autant que possible la dangerosisté de l'islam et les exactions des membres de cette secte) sur l'air du "mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose", pour tenter de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.

Voici la réponse que je lui ai faite sur son blog ce 26 décembre, et que ce petit monsieur minable a bien sûr immédiatement effacée :

Mettons un peu d'ordre dans tout ce magma, et clarifions les choses : l'irénisme est, comme le pacifisme bêlant, le relativisme culturel, et l'autruchisme des lopettes spécialistes du «politiquement correct», une attitude faite de lâcheté intellectuelle, de pleutrerie bien physique (la peur de prendre des coups) et de bas calculs, par exemple face aux prix du pétrole quand il s’agit de remplir sa citerne à mazout.

Irénisme: Attitude d'esprit selon laquelle on tolère l'intolérable, par désir exagéré de paix et de conciliation

Et si le mot retrouve des couleurs aujourd'hui, c'est pour stigmatiser l'attitude poltronne de l'homme occidental quand il s'agit de dénoncer l'intolérable, l'islam, cette théocratie sectaire proche du nazisme, et qui puise sa substance dans le coran (un texte d’une violence hallucinante, qui, contrairement à ce que bêlent les adeptes du cinquante-cinquantisme, ne trouve pas son équivalent dans aucune autre religion), et qui étend sa violence épouvantable face à l'autre, la femme, l'homosexuel, le juif, le chrétien, l'athée, et pire que tout, l'apostat, celui qui ose briser la loi du silence et dénoncer cette «religion» pour ce qu'elle est vraiment : une secte. Et la plus effroyable de toutes.


Ce commentaire restera ici, pour montrer comment une lopette qui n'est pas un "garde-mots", mais seulement un minable garde-chiourme de la pensée, perpétue la grande tradition stalinienne de la censure la plus abjecte et la plus minable.

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