Ce jour, le peuple américain a voté comme « on » a fait en sorte qu'il vote ! Pour cela, les MSM (Mainstream Medias), les « faiseurs d'opinion » acquis à la gauche, ont soumis ce peuple, depuis des mois, à un matraquage d'une incroyable démagogie, à un véritable rouleau compresseur médiatique, fait de désinformations, de mensonges, de diffamations, de déni de réalité sur fond de vacarme omniprésent, un vacarme plein d' « émotions », de « rêves », de « gnangnan », de (chantage aux) « bons sentiments » mais ...vide de sens ! Bref, d'une désinformation quasi permanente, destinée a empêcher le compte-rendu fidèle des faits et leur vérification, ainsi que l'analyse, la réflexion, et le débat sur ceux-ci. Le tout scandé par des « sondages » ventriloques.
Mais aussi, un peuple implicitement menacé de l'accusation de « racisme » s'il refusait d'élire un candidat métis et musulman, issu à la fois des milieux noirs les plus racistes et les plus haineux envers les blancs, et des milieux de gauche les plus extrémistes. Un candidat puissamment soutenu financièrement par une upper-class « démocrate » corrompue et avide de pouvoirs à n'importe quel prix, qui en a fait son cheval de bataille.
Un peuple tenu en laisse par cette caste arriviste "multinationale" qui méprise ce peuple attaché à son pays, à sa terre, à tout ce qui fait la nation, et qui, au nom de la « diversité » et de l' « affirmative action (discrimination positive) a recyclé à son profit le discours gramscien, la lutte culturelle de l'extrême-gauche. Une « upper » classe qui se soucie comme de colin-tampon des effets négatifs à long terme que sa politique ne manquera pas de provoquer, comme elle se désintéresse tout autant de l'intérêt des générations futures qui vont subir les effets du démantellement larvé de leur nation, voire affronter, comme en Europe, probablement devenue - entretemps - Eurabia, la balkanisation, la formation d'enclaves, la guerre raciale, les affres de l'esclavage et de l'oppression musulmane.
1. Le peuple américain, disais-je, a fini par céder à la pression médiatique.
Ce sinistre 5 novembre 2008, malgré une résistance soutenue du candidat républician, John Mc Cain (qui, au vu des rares sondages non "ventriloques", a bien tenu jusqu'au moment du déclenchement de la crise financière), le peuple américain a fini par élire comme 44-ème président des États-Unis :
un candidat profondément menteur, un candidat qui n'a jamais cessé de mentir tout au long de sa campagne, mais dont les mensonges ont été étouffé, tout-au long de celle-ci par des médias très complaisants
un candidat (qui aurait normalement dû être déclaré) inéligible : né au Kenya, et non à Hawaï comme il le soutient, il ne remplissait même pas les conditions d'éligibilité !
(parions que si un procès en destitution, bien mérité, lui était intenté, on verrait toutes les « bonnes âmes », toutes les brêles multiculturalistes qui ont fermé les yeux sur tous ses mensonges et toutes ses turpitudes bêler au « rââcizzme »)- un candidat aux deux mains gauches: un candidat qui, en dehors de sa capacité à se défiler et à faire prendre des vessies pour des lanternes, et de son charisme pour les nuls, n'a aucun autre actif à son crédit que son élection comme le Sénateur le plus à gauche du parti Démocrate, qui n'a aucun programme consistant, en dehors du «demain on rase gratis», et dont la seule stratégie de campagne était basée sur l'apparat, le culte de sa personnalité, les promesses démagogiques tous azimuts, disproportionnées et souvent contradictoires entre elles. Un sénateur depuis seulement quatre ans, qui n'a fait aucune proposition de loi, aucune intervention notable, et trouvait le moyen de s'absenter chaque fois qu'intervenait un choix difficile, un vote pouvant nuire à sa popularité, devient, par une sorte de tour de passe-passe médiatique, le 44ème Président des États-Unis !
un candidat qui a fait un lapsus révélateur sur sa « foi musulmane », lors d'une interview, et qui, en tout cas, entretient des relations suivies avec le terrorisme palestinien, les islamistes du Hamas et du Hezbollah, comme avec le Fatah.
un candidat d'extrême-gauche: un candidat qui faisait partie du « New Party », l'aile activiste d’extrême-gauche du Parti Démocrate. Et qui entretenait des contacts étroits avec des activistes dangereux comme, par exemple, le terroriste William Ayers, ou le terroriste palestinien Rashid Kalidi.
un candidat raciste, qui a également évolué pendant vingt ans dans les milieux racistes noirs, où il a suivi les prêches extrémistes de son ami intime, le pasteur Jeremiah Wright, entretenu des relations avec Louis Farrakhan (leader de Nation of Islam, et grand admirateur d'Hitler), les Black Panthers, etc.
- un candidat antisémite, qui n'a pas hésité à affirmer que « Dieu n´a jamais donné de blanc-seing à Israël pour occuper la Palestine», ou qu’Israël était « une plaie infectée au Proche-Orient » ou encore « qu’Israël pratique un génocide à l’encontre des Palestiniens »
un candidat pacifiste, dans le sens que l'extrême gauche donne au mot pacifisme : un candidat qui n'a eu cesse de nier les effets salutaires de l'intervention des États-Unis en Irak, n'a jamais daigné rencontrer le général David Petraeus à l'origine du redressement spectaculaire en Irak, dont il menace de retirer les troupes américaines alors qu'un début fragile de démocratie se fait jour, un candidat qui a déjà annoncé une politique d'apaisement (donc de laxisme accru) envers l'Iran, qui fera courir un risque accru d'instabilité dans la région, et donc un risque accru pour l’existence même d’Israël.
un candidat véreux, étroitement lié à l’ACORN (association en examen pour fraudes électorales massives), dont les fonds qui ont permis d'acheter son élection proviennent pour une part de financements occultes (notamment par des états islamiques comme la Syrie, qui a financé la campagne des démocrates avec des fonds iraniens) et pour l'autre partie, essentiellement, d'une « upper-class» démocrate qui a dépensé sans compter pour imposer son « poulain », ce qui lui a permis de dépenser trois fois plus pour sa campagne (dont 600 millions de dollars de pub) que le candidat républicain. Tout le reste (comme la soi-disant participation massive de nombreux petits donneurs par internet, qui auraient ainsi financé "l'essentiel de la campagne"), ne sont que légendes et mensonges destinés à donner le change...
un candidat qui a été propulsé par le mensonge sur la crise financière, dite des “subprimes” (crédits aux individus non-solvables). Un matraquage médiatique mensonger a fait croire aux américains (et aux autres) que cetet crise était provoquée par une « dérégulation des marchés », par un « capitalisme sauvage », alors qu'elle était, au contraire, provoquée par des mesures socialisantes très interventionnistes votées sous Clinton, facilitant le crédit aux insolvables. Ces mesures, allant jusqu'à la possibilité d'invoquer devant les tribunaux une « discrimination » en cas de refus de crédit, étaient renforcées par des sociétés semi-publiques de refinancement comme « Fanny Mae » et « Freddy Mac » qui ont disséminé le refinancement de ces « toxic credits » dans le monde entier pour aboutir à la crise financière gigantesque que l'on connaît actuellement. Ces sociétés peu scrupuleuses étaient étroitement liées à des personnalités démocrates. Des « pompiers-pyromanes » qui ont réussi le tour de force de faire du marché et d'une soi-disant « déréglementation le bouc émissaire de leurs erreurs étatistes et leurs manipulations interventionnistes.
- un candidat qui a d'ailleurs soutenu lui-même ce système des subprimes, en s'opposant à la réforme que son futur rival conservateur, John McCain, proposait pour éviter ou atténuer les risques d’une crise financière sans précédant. Un candidat qui a comme conseiller un ancien
- un candidat communautariste, qui a bénéficié du vote plébiscitaire des électeurs noirs, qui ont voté pour lui à plus de 90 % (et qui n'ont pas hésité à recourir à l'intimidation devant certains bureaux de vote, ni a des fraudes massives) sans que personne ne se risque à soulever la question du racisme que pose ce vote massivement communautariste.
- un candidat qui a, enfin, bénéficié d'une participation et d'un vote massif des communautés musulmanes, d'habitude indifférentes à la vie politique aux États-Unis., et peu présente habituellement au scrutin. Ainsi que de ce que toute la planète compte de dictatures, et autres états musulmans terroristes, mais aussi de tous les "bobos" et de tous les "multicuculs" de la planète.
2. Le peuple américain n'est pas SEUL responsable du choix calamiteux qu'il a fait !
Le peuple américain est certes responsable de son choix. Mais ce choix n'a pas pu être fait en connaissance de cause, dans un climat d'hystérie, de tromperie et de mensonges permanents, sur fond d'«antiracisme » bêlant. Une campagne de désinformation systématique organisé par une presse hystérique (1)
Bref, une « presse » aux ordres. Une presse d'agit-prop'.
Une presse qui, au mépris de toute déontologie professionnelle, a troqué :
le langage de la raison (si tant est que la plupart des « journalistes » l'ont jamais eu) pour celui de l'émotion facile
la recherche et l'analyse des faits objectifs pour l'appel aux rêves fumeux,, et aux promesses délirantes et sans consistance, souvent absolument impayables (au sens humoristique comme au sens financier pour certaines)
le respect du lecteur et de l'électeur et son droit à une information équitable, contre la manipulation de bas-étage et la désinformation systématiquement orchestrée (2)
Cette « presse » de désinformation a également troqué ce qui devait être l'élection d'un président des États-Unis pour une sorte d'élection d'un nouveau « Messie », destiné à jouer aux rassembleurs derrière la couleur de sa peau (bonjour le racisme gramsien !). Pour atteindre ce but gramscien, la presse a recouru sans vergogne au black-out et aux déploiements d'écrans de fumées pour recouvrir les faits les plus dérangeants, faisant ainsi l'impasse sur le passé et les accointances gênantes de ce nouveau « Messie ».
Le peuple américain était – par ailleurs - implicitement menacé de « racisme » s'il se refusait à voter pour un candidat d’extrême-gauche, un candidat raciste musulman anti-occidental, même si c'est un candidat sorti du milieu noir le plus raciste et le plus haineux, dès lors que ce candidat était métis.
(1) surtout outre-Atlantique, et particulièrement en France, où le caractère « noir » du candidat (il n'était donc plus métis ?) a été exacerbé de façon inimaginable par une presse bêlante et délirante !
3. Les conséquences de ce choix catastrophique ne vont néanmoins pas se faire attendre !
Citons, parmi les plus prévisibles :
31. l'influence grandissante de l'extrême-gauche dans le Parti démocrate, amorcé depuis une quarantaine d'années, ne sera probablement pas enrayée.
Le noyautage du parti démocrate par l'extrême-gauche, commencé sous l'ère Nixon, et même avant, est déjà devenu très important actuellement. Pour en donner deux exemples frappants, il n'est que de mesurer la façon dont une certaine « upper-class » a réussi à sortir un sénateur presque inconnu, et n'ayant aucune réalisation à son actif, du lot pour en faire un candidat "présentable", et l'imprévisible éviction de Hillary Clinton (qui a stupéfié tout le monde, notamment au Parti démocrate), de la course présidentielle.
Malgré les contre-feux que le Parti Démocrate s'apprête probablement à mettre en place, cette influence ne fera que croître dans un avenir prévisible, et risque d'aboutir aux phénomènes suivants:
311. une remise en cause drastique de la politique pro-israélienne menée traditionnellement par l'administration américaine
312. une augmentation sensible de l'antisémisme aux Etats-Unis
Celle-ci est déjà très sensible dans les universités américaines et dans les milieux « intellectuels » de la gauche démocrate., comme on a pu le mesurer à l'occasion du climat de conspirationnisme qui entoure les attentats du 11 septembre, mais aussi les manifestations antisémites et islamophiles lors de l'entrée en guerre en Irak, ou l'éternelle accusation de « conspiration des banquiers juifs » lors de la crise financière actuelle.
313. une islamisation accrue, et une jonction plus forte entre les courants d'extrême gauche et les courants islamophiles.
Alors que la résistance à l'islamisation commençait à s'organiser sérieusement aux Etats-Unis, n'hésitant pas à bousculer les tabous actuels du politiquement correct, et à se faire plus présente (comme avec la distribution massive aux lecteurs de journaux du film « Obsession » sur CD ) , cette résistance risque de faire les frais d'une politique de plus en plus liberticide, comme en France, qui cherche à « la mettre au pas ».
Une politique ou terrorisme intellectuel de gauche et taqqiyya se combineront encore d'avantage pour étouffer notre liberté de pensée, de critique, et d'opinion.
32. La politique extérieure des Etats-Unis risque d'être catastrophique !
321. La lutte globale contre le terrorisme risque d'être abandonnée, et une nouvelle vague de terrorisme est malheureusement à prévoir !
Alors que la gravité de la menace islamiste n'est nullement disparue, et que celle-ci se diversifie (notamment avec un accroissement des recrues occidentales parmi les nouveaux convertis) , un retrait d'Irak, qui libèrerait des ressources qui pourraient se déployer sur d'autres terrains aurait un effet catastrophique. De même, la stratégie globale de lutte contre le terrorisme, qui a permis que les États-Unis n’aient plus subi d'attaques sur leur propre sol depuis le 11 septembre 2001 (dépassant de loin les prévisions les plus optimistes des experts) risque d'être abandonnée au profit d'un retour à une recherche classique, au cas par cas, de résolution locale des conflits. Ce retour, qualifiée par les démocrates de "pragmatique", fait fi de la nature globale du terrorisme islamique, et pourrait avoir des effets désastreux, face à un ennemi dont la stratégie reste globale, et qui ne s'embarrasse ni de frontières, ni de respect des traités locaux.
Le relâchement (qui se dessine déjà clairement, avec, par exemple, la promesse inconsidérée de fermer le camp de Guantanamo) de cette lutte contre le terrorisme s'accompagnera de mesures d' « apaisement » et de « dialogue » dont on connait déjà le résultat catastrophique ailleurs, comme en Europe et au Canada. La politique de « la main tendue » ne pourra être perçue que comme un aveu de faiblesse, tant par les pays islamiques et les multiples groupes terroristes que ces pays (dont l'Iran et la Syrie) entretiennent de par le monde, que par les autres dictatures, comme la Corée du Nord, l'autre menace nucléaire, et les dictatures et quasi-dictatures populistes d'Amérique du Sud.
322. L'administration américaine réactivera l'ONU, ce repaire d'incapables, de couards, et de racistes droitdelhommistes, qui sert de chambre d'écho aux pays islamistes et aux pays gauchistes revanchards
L'ONU est devenu, depuis déjà longtemps, la plate-forme de l'OCI, l'Organisation de la Conférence islamique (OCI), dont aucun des 54 états n'a souscrit à la Déclaration Universelle des droits de l'Homme, une organisation qui souhaite la criminalisation de l' « islamophobie » (délit de blapshème) , une première étape fondamentale vers le musellement de l'esprit critique et l'acquièscement tacite aux normes de la loi islamique, la Charia. Cette organisation, fondamentalement raciste anti non-musulmans, prépare, au sein de l'ONU, l' « Alliance des civilisations », une appelation hypocrite pour une tentative multiculturaliste destinée à torpiller les normes occidentales en matière de droits de l'individu, et la conférence, dite de Durban II, contre le « racisme », qui sera présidée par ...l'Iran (champion, comme l'on sait dont les deux objectifs majeurs sont la criminalisation d'Israël et la " diffamation des religions" (comprendre : pénalisation de toute attaque contre cette secte raciste qu'est l'islam) au nom d'un prétendu « anti-racisme », anti-racisme ultra-raciste rebabtisé "lutte contre l «'islamophobie ».
Sous l'égide de l'OCI et avec le soutien d'autres dictatures, et de pays apeurés par la menace pétrolière, plusieurs "résolutions", certes sans valeur contraignantes, mais néanmoins extrêmement inquiétantes, ont déjà été votées dans ce sens, par une majorité de pays, contre les démocraties occidentales.
Nul doute que le choix de ce nouveau président, crypto-musulman d'extrême-gauche et raciste anti-blancs, favorisera l'accélération de ce prétendu mouvement d' « Alliance des Civilisations » , qui est en fait un mouvement d'llégeance de la civilisation à la barbarie, destructeur de l'Occident, de ses valeurs démocratiques, et de liberté. Et ce, quels que soient les garde-fous dont le parti démocrate, et les sponsors de l' « upper-class » gramscienne, genre Sorros et Cie, , voudront l'entourer par ailleurs.
323. L'Iran continuera sa marche vers la bombe nucléaire sans connaître de véritable opposition de l'administration américaine.
Le jeu de dupe actuel que pratiquent les mollahs d'Iran vis-à-vis de l'administration Bush ne changera pas parce que la nouvelle administration démocrate voudra prôner un « dialogue direct », bien au contraire. Cette nouvelle attitude sera perçu comme un signe de plus de l'impuissance des États-Unis à imposer un démantèlement de l'arsenal nucléaire dont sont occupé à se doter les mollahs, et encouragera ceux-ci à continuer à développer leur potentiel de nuisance, notamment via les différentes factions terroristes qu'ils entretiennent de par le monde, comme le Hezbollah au Liban et le Hamas en Palestine.
324. L'Irak va avoir du souci à se faire...
Le désengagement annoncé en Irak, et le déplacement d'une partie des troupes vers l'Afghanistan, théâtre d'opérations décentré et de bien moindre intérêt géostratégique, risque de remettre sérieusement en cause les résultats très nets obtenus par l'opération de contre-insurrection Surge en matière de réduction des actes de terrorisme (résultats soigneusement tus par la presse française) .
... et le reste du monde aussi !
Pire, un tel désengagement ouvrirait un boulevard pour l'Iran pour influencer, sinon menacer directement les monarchies pétrolières, et même l'Europe. Que les médias occidentaux ne voient pas cette menace de cet excentrement du théatre d'opérations est proprement ahurissante, et en dit long sutr l'abêtissement et l'aveuglement de nons me(r)dias.. !
325. La politique de la nouvelle administration américaine au Proche-Orient sera au mieux inexistante, au pire, extrêmement dangereuse pour Israël.
Au mieux, la nouvelle administration se contentera d'agiter les actuels 'hochets' : « implication » américaine dans les négociations avec la Syrie, le Hamas et le Fatah, « dialogue » avec l’Iran, avec la « menace » d'hypothétiques « nouvelles sanctions ». Mais la collaboration logistique, le renseignement, et l'aide militaire dont bénéficiait Israël risque d'être fortement réduits ou de disparaître. Si l'administration décidait de se désengager du problème du Moyen-Orient, cela ouvrirait un boulevard à l'Europe et à la Russie, et ce serait peut-être pire encore.
Mais la nouvelle administration américaine sera certainement constituée de la plupart des conseillers du candidat qui vient d'obtenir la présidence , et de ses pseudo "spécialistes" qui considèrent - souvent avec une mauvaise foi évidente - qu'Israël est « le nœud du problème », et il est probable que cette nouvelle administration exigera d'Israël encore d'avantage de concessions, des concessions qualifiées de « radicales » pour aboutir à un soi-disant « règlement "équitable" du conflit » .
Alors que c'est exactement le contraire : non seulement Israël n'est pas « le nœud du problème » (1) , mais les mesures « radicales » préconisées risquent d'être seulement radicales pour l'existence d'Israël et de sa population juive.
S'il veut survivre, non seulement Israël devra résister fermement aux nombreuses pressions, voire menaces, que l'administration américaine fera immanquablement dans ce sens et refuser toute nouvelle concession, mais il faudra qu'il songe au contraire, à revenir sur les concessions passées, en dénonçant les accords qui n'ont jamais été respectés par les musulmans. Et passer, au contraire, à des actions plus musclées : interdire l'acheminement de toute aidelogistique ou financière européenne, américaine ou autre, aux palestiniens, nettoyer les enclaves de Gaza et Cisjordanie de tous les terroristes musulmans (et faire la même chose avec le Hezbollah au Liban, d'ailleurs) . Expulser vers des pays musulmans tous les populations qui constituent, sur son sol, une menace pour son existence. Et détruire les capacités nucléraires de l'Iran avant qu'il ne soit trop tard.
(1) tout au plus Israël est il le "canari dans la mine", [addenda: selon l'expression d'Alfons Heck,] un canari dont le sacrifice ne résoudrait rien du tout, mais serait simplement une préfiguration de ce qui attend les autres peuples occidentaux, mais aussi le Japon, l'Inde, et la Chine, s'ils ne mettent pas fin à cette infection totalitaire qu'est l'islam.
326. L'Europe paiera cher son Obamania, et devra assurer elle-même sa sécurité,
Tant dans ses engagements internationaux (où elle sera priée de compenser elle-même un probable désengagement américain) que sa lutte anti-terroriste, L'Europe va faire l'apprentissage douloureux de ce à quoi servait réellement la guerre en Irak, lors d'un probable retrait américain : désormais libérés du « puits de violence » qui les retenaient en Irak, suite à ce qu'ils considéraient comme une agression du "Dar Al Islam" (la Maison de l'Islam), les terroristes musulmans vont pouvoir consacrer d'avantage de ressources pour tenter de disséminer leurs actions dans le "Dar Al-Harb" (la Maison de la Guerre), et reprendre leurs attentats contre les villes et les intérêts européens (et indiens).
L'Europe "transnationale", déjà largement dhimmifiée, et les états qui ont suivi (voire précédé, comme en France) ce mouvement de dhimmification, n'aura plus à tenir compte de la résistance américaine comme garde-fous : les progrès de l'islamisation conjugués à ceux de la censure de la liberté d'expression risquent d'être encore bien plus rapides.
33. Sur le plan de la gestion intérieure, ce ne sera pas beaucoup mieux
331. L'administration américaine aura probablement les mains libres, mais ...ne fera rien (de bon).
Avec la probable arrivée massive des démocrates au Congrès, celui-ci passera probablement complètement sous contrôle « démocrate », et il est douteux que, en dehors de veiller au « renvoi d'ascenseur » pour rétribuer les coûteuses prébendes électorales, ce contrôle s'exerce réellement contre la nouvelle administration américaine, si ce n'est, tout au plus, pour tenter de « limiter la casse » dans les cas graves.
Mais ça ne changera pas grand chose, car non seulement le président sera complètement incapable, surtout dans un contexte économique aussi défavorable, d'honorer ses promesses d'instaurer un État Providence, une sécurité sociale à charge de l'état, et autres délires étatistes, etc… mais toute tentative, même timide, dans ce sens, aboutira à une augmentation de la dette publique, des impôts et des taxes, et se soldera par un étouffement de l’économie, sans effet positif notable.
332. en dehors de mesures interventionnistes, la gestion de la crise financière sera tout simplement ...inexistante !
Résoudre la crise financière sans créer une nouvelle bulle spéculative ailleurs exigerait des mesures drastiques, à commencer par l'abolition de toutes les mesures interventionnistes, prises, e.a. au nom de la « discrimination positive ». Comme les pressions que subissent les banques américaines, au nom du Community Reinvestment Act ou le Home Mortgage Disclosure Act (statistiques raciales sur l'octrois de prêts hypothécaires), pour les obliger à faire du crédit aux gens, bien au delà de leur capacité d'endettement, avec la pyramide imaginée par avec les organismes de refinancement des crédits subprimes. Or ces mesures ont été obtenues par des groupes de pression comme l'ACORN (Association of Community Organizations for Reform Now) où on retrouve un certain ...Barack Hussein Obama !
Peu de chance donc que ce dernier soit enclin à revenir sur ses erreurs idéologiques, et prenne le contre-pied en prenant des mesures impopulaires qui éliminent les canards boiteux et les activités non rentables, et supprime les facteurs de corruption et autres mesures réglementaires qui provoquent des distorsions de concurrence, pour que l'économie reparte sur des bases saines .
332. Le repli isolationniste des États-Unis va encore s'amplifier d'avantage
Paradoxalement, la politique « d'ouverture et de dialogue tous azimuths » du nouveau président « noir » (pourquoi noir, au fait ?) ce messie crypto-musulman qui marche sur l'eau va accélérer le repli isolationniste et non l'inverse. Les dictatures islamiques et autres sont loin d'être aussi crétines que nos démocraties peuplées de décérébrés de gauche, et ne se laisseront nullement abuser, elles, par ce « dialogue d'ouverture » tous azimuths censé apporter la grande conciliation multicucul entre races, cultures, et religions (et sectes assimilées comme l'islam).
Ces dictatures sauront bien éviter les pièges de cette « politique de la main tendue » en pratiquant ce qu'elles font à merveille : se positionner en victimes et exiger toujours d'avantage en ne donnant jamais rien en échange, face aux démocraties irrésolues et démissionnaires. Et elles profiteront sans vergogne de la situation de faiblesse accentuée que créera le nouveau président, dont le gauchisme, le multiculturalisme et la haine anti-blanc et anti-occidentale seront comme autant de portes d'entrées à
Les démocraties, et particulièrement les démocraties européennes, engagées dans cette énorme farce d' « Alliance des Civilisations » avec la complicité des eurocrates cyniques de cette autre prostituée (la première étant l'ONU) qu'est l'UE, se réveilleront avec la gueule de bois de leur « Obamania » et avec des défenses immunitaires encore amoindries : l'unanimisme et la pensée unique de gauche auront encore fait des progrès inquiétants, avec la complicité d'une droite affairiste cynique et sans scupule, la répression des libertés fondamentales, à commencer par celle de penser (déjà bien entamée, notamment dans ce pays à la pointe du combat liberticide qu'est la France) . Les « démocrates » américains auront réussi, une fois de plus, à faire ce qu'ils savent si bien faire (comme avec les subprimes, ou avec la destruction de l'Iran du Shah) : foutre la merde partout ailleurs au nom des bons sentiments gnangnans , et tirer ensuite leur épingle du jeu, en brûlant ce qu'ils auront adoré, et en écartant celui qu'ils auront mis en place (à moins qu'un sursaut républicain - improbable à l'heure actuelle - ne les prenne de vitesse).
L'Europe en perte de démographie (et dont les eurocrates onts sciemment favorisé une immigration musulmane massive et non-contrôlée, sans tenir compte des risques, et sans l'aval des peuples d'Europe) sera bien avancée sur le chemin d'Eurabia , confirmant les pronostics les plus sombres de Bat Ye'Or ou encore de Marc Steyn, losqu'il décrit la fin du monde tel que nous le connaissons dans "America Alone"
12 commentaires:
Et bien ! Le moins que l'on puisse dire, c'est que tu y vas fort...trop fort ?
Tes accusations contre Obama sont dures, et demandent à être prouvées par des faits indéniables. Il est un peu facile de salir quelqu'un parce qu'il a parlé un jour à un membre d'un association douteuse. Je suis ouvert pour écouter ton message, mais il faut que tu me convainques...
à bientôt !
> tu y vas fort...trop fort ?
...ou peut-être pas assez ? pour ne pas alourdir mon billet, je n'ai pas parlé du racisme de sa charmante épouse, ni de ses procédés ignobles d'Obama pour se faire élire Sénateur il y a quatre ans, ni de son arrivisme forcené, ni des campagnes d'intimidation et de menace d'électeurs lors de cette campagne-ci, par des groupes communautaristes blacks (et sans doute bien d'autres détails)
> Tes accusations contre Obama sont dures, et demandent à être prouvées par des faits indéniables.
Vérifiez !
> Il est un peu facile de salir quelqu'un parce qu'il a parlé un jour à un membre d'un association douteuse.
... un jour à un membre d'un association douteuse, hein ? Obama a fréquenté pendant 20 ans l'église de Jeremiah Wright, le pasteur noir de l’église Trinity Church of Christ de Chicago, bien connu pour ses discours sulfureux antisémites, et racistes anti-blanc. Jusqu'au moment où, à la mi-mars, Obama a précisé qu'il faisait plus partie du comité de conseil spirituel de sa campagne. avant de s'en écarter définitivement écarté fin-avril. Vous croyez vraiment qu'Obama ne s'est jamais rendu compte auparavantque celui était un extrémiste noir qui prône la séparation et la haine des blancs ? Idem pour leur ami commun, Farrakhan, ex-leader du mouvement Nation of islam ? etc. etc.
> il faut que tu me convainques...
Ce blog s'adresse d'abord et avant tout à des esprits libres et critiques, mais surtout, volontaristes, capables de contrôler et de vérifier par eux-mêmes. Je n'ai pas le temps de faire, à chaque fois, des dossiers super-étayés, comme je l'ai fait sur l'islam ou sur l'affaire Al Dura.
Deux articles intéressants sur le « nouveau messie planétaire » :
1. Article jubilatoire de causticité et d'ironie de John Connor sur le nouveau mondio-prophète adoré par la police de la pensée
« Hommage » à Barack Obama : John Connor jette l’opprobre sur LibertyVox en refusant d'aduler Obama, le nouveau mondio-prophète adoré par la police de la pensée.
2. Ton journalistique oblige, l'article de Ivan Rioufol ne peut se permettre une dénonciation aussi crue, aussi dure, que mon billet. Mais même s'il est beaucoup moins précis, et navigue à quelques encablures de celui-ci, il lui reste néanmoins très parallèle (et complète très bien mon billet sur l'antiracisme raciste qui a présidé à l'hystérie obamanesque) : Barack Obama, icône ambiguë.
Bonjour Naibed
Tu recherchais la source de l'expression "canari dans la mine" ? Là voici : http://www.crif.org/?page=sheader/detail&aid=7188&artyd=8
C'est une vieille expression de mineur qui a été reprise comme titre pour un livre au sujet d'Ilan Halimi.
Si j'en ai le temps, je vais essayer de t'aider à sourcer ces infos : elles m'interpellent suffisament pour que je fasse mes propres recherches, et si cela se confirme (et je pense que oui, de nombreuses infos parcellaires croisées de ci de là m'avait déjà amené à m'inquiéter au sujet du "vrai" Obama) je me ferais un plaisir de te fournir mes découvertes, afin de contenter LOmiG ;)
PS : une procédure de destitution est déjà en cours contre Obama, je ne retrouve plus ma source mais le tribunal devait rendre son avis ces jours ci (le 20/12 il me semble)
En fait, je recherchais le nom de l'ancien nazi repenti, qui expliquait (bien avant le drame d'Ilan Halimi, donc), qu'Israël est comme le "canari dans la mine", et que les occidentaux devraient se méfier de cette illusion cynique qu'il suffirait de sacrifier Israël pour avoir la paix avec les arabo-musulmans.
Le sens de l'expression, je le connais bien: les mineurs emmenaient un canari dans la mine pour détecter une éventuelle émanation de grisou. Si le canari commençait à battre de l'aile, ils savaient que le danger était là, et qu'il était grand temps pour eux de sortir du piège.
Merci en tout cas pour l'info sur le livre à propos de cet épouvantable crime.
Bonjour Naibed
Je ne te faisais pas l'injure de penser que tu ignorais le sens de l'expression :) J'ignorais par contre qu'un nazi l'avait utilisé (avec justesse) et pensais que tu parlais du livre sur ce pauvre garçon assassiné en grande partie à cause des idées nauséabondes colportées par ces imbéciles incultes de gauchistes => excuse moi pour le malentendu, et de rien pour le livre
Sinon, au passage, merci pour tes références (sur ton blog) : je suis en train de lire Eurabia, ça calme... J'étais au courant d'une partie des données de ce livre, mais les lire regroupées...
Cdt, Gally
Pas de problème : je ne me suis pas du tout sentie visée. Et si je me suis permise de préciser le sens, c'est uniquement dans un but pédagogique, pour que tous ceux qui lisent ce blog comprennent bien le lien étroit qu'il y a entre le canari dans la mine, c'est-à-dire: Israël d'une part, et le monde occidental de l'autre.
Ce lien est très bien expliqué par Alfons Heck (entretemps, j'ai retrouvé le nom :-)), ancien chef des jeunesses hitlériennes, qui explique son parcours et l'enseignement qu'il en retire dans deux livres: A Child of Hitler Germany in the Days When God Wore a Swastika, (1985) et The Burden of Hitler's Legacy(1988). Alfons Hecks a vécu de près l'imbrication historique entre nazisme et islamisme (*), et leurs développements parallèle, notamment en Palestine.
(*) J'utilise ici "islamisme" non pas, comme le font les négateurs de la dangerosité de l'islam, pour distinguer celui-ci d'un mythique islam pacifique ("cette licorne que personne n'a jamais vue, mais dont tout le monde feint d'admettre l'existance", comme l'exprime très bien Robert Spencer), mais au sens de processus en cours de développement de l'islam politique, qui devrait être le vrai sens du mot "islamisme".
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On retrouve ce lien illustré dans le film effrayant, mais hélas très réaliste : Obsession: Radical Islam's War Against the West. dont Ajm a fait une traduction disponible sur son site.
(01:01:39) Titre: Hitler et le Mufti (partie consacrée au grand Mufti de Jérusalemn Hadj Amin al-Husseini)
Alfons Heck :
(01:04:21) Le monde fanatique musulman et Hitler ont un même avis: il ne peut exister d'autre idéologies que les leurs. Cela englobe tout.
(01:05:12) Hitler est du passé, et les allemands [d'aujourd'hui] ne sont pas les nazis de 1945; mais... les musulmans n'ont jamais vacillé dans leurs intentions, et leur but est, s'ils en avaient la possibilité, de tuer tous les juifs. J'en suis convaincu.
Professor Robert Wistrich : (spécialiste de l'histoire juive et européenne à l'Université hébraïque de Jérusalem, et responsable du Centre international pour l'étude de l'antisémitisme à l'Université Vidal Sassoon)
(01:05:30) Mais ce qui commence avec les juifs ne se termine jamais avec les juifs, comme l'Occident, et l'Europe en particulier, commence lentement, mais sûrement, à le comprendre. Les juifs sont le prologue. Après les juifs, viennent les vrais problèmes.
Alfons Heck :
(01:06:07) Mais tout ce qui arrive à Israël,
(01:06:17) arrivera aussi, finalement, dans le reste du monde.
(01:06:26) Israël est le canari dans la mine.
Merci d'avoir retrouvé ce lien, sa fiche Wikipedia et son témoignage dans "Obsession" m'incite à m'intéresser à lui :)
Cordialement et joyeuses fêtes Naibed
Paradoxalement l'adversaire le plus lucide et le plus énergique d'Obama est aujourd'hui un autre noir, un véritable afro-américain d'ailleurs, le Lt Cl Allen B.West, ancien combattant de terrain du front de l'Afghanistan contre l'islamo-fascisme et auteur d'une formidable lettre de soutien à un Geert Wilders dès lors menacé d'embastillement (comme du temps des lettres de cachet) par la justice dhimmie aux ordres des vociférateurs musulmans.
Quelle claque pour tous ces racistes islamo-gaucho-fasciste qui racialise tout pour faire avancer leur saloperie liberticide et homicide.
Il ne s'agit pas de couleurs de peaux, mais de convictions et de valeurs; la majorité des musulmans aurait une morphologie et un faciès d'islandais, ça ne changerait rien à sa dimension pernicieus, il y a les textes (Coran+Sunna+Sirâ...) qui eux ne bougent pas et constituent une menace gravissime pour un mode de vie libre et démocratique.
La lettre du Colonel West(USAR):
http://directed-by-blogspot.com/2009/01/letter-from-lt-col-allen-west.html
C'est le meilleur ami de Geert Wilders , l'attaque sur l'angle racial du député néerandais va être bien difficile pour les juges et médias aux ordres.
West comme Western Civilization, un nomprédestiné et bien mins inquiétant que celui d'un Barack(béni, vraiment?), Hussein(un personnage clef dans l'eschatologie musulmane), Obama, le nouveau Messie des renoncements des compromissions et des lâchetés à venir.
Sur Guysen International News, par Véronique Chemla, une
interview de Bat Ye’or sur Geert Wilders et l’OCI qui comporte un long extrait sur Obama.
Extrait :Le 21 janvier 2009, le nouveau président américain a prêté serment en tant que « Barack Hussein Obama », alors que pendant sa campagne électorale, il récusait tout rappel de ses liens avec l'islam et ceux qui les évoquaient étaient discrédités. Depuis, il multiplie les souvenirs personnels le liant à la foi mahométane : « J'ai des musulmans dans ma famille, j'ai vécu en pays musulmans »(21).
Lors de son discours d’investiture, il a stupéfait en reléguant les juifs après les musulmans : « Nous sommes une nation de chrétiens, de musulmans, de juifs et d’hindous – ainsi que de non-croyants »(22). Ce qui est faux historiquement, en terme d’« héritage spirituel » et numériquement. Ce qui peut aussi peiner les Juifs américains qui ont voté à environ 75% pour lui.
Le président Barack Obama multiplie les ouvertures vers le monde musulman. Son 1er appel téléphonique a été au président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas(23). S’il s’est entouré de personnalités favorables au processus d’Oslo(24), tels Hillary Clinton, secrétaire d’Etat, et Rahm Emanuel, secrétaire général de la Maison Blanche, il a nommé des personnalités connues pour leur partialité contre Israël : l’universitaire Samantha Power(25) au Conseil national de sécurité, et George Mitchell(26), envoyé spécial au Moyen-Orient.
Le 26 janvier, il déclare à la chaîne al-Arabiya : « Il n'y a aucune raison que nous ne puissions pas restaurer le respect et le partenariat que l'Amérique avait établis avec le monde musulman il n'y a ne serait-ce que 20 ou 30 ans. Et je pense que cela va être une tâche importante »(27).
Or, ce « bon vieux temps » est celui de la prise en otage des employés de l’ambassade américaine à Téhéran, l’insurrection islamiste à La Mecque qui « inspirait une vague d'attaques contre les missions des U.S.A dans huit pays à majorité musulmane » (Daniel Pipes)(28).
Le 1er février 2009, le président Barack Hussein Obama a annoncé sa volonté de travailler avec l’OCI pour « un monde plus sûr »(29) …
Il insiste sur un dialogue respectueux avec l’Iran, qui exige en fait la capitulation américaine(30).
Il laisse filtrer qu'il préfère un gouvernement israélien d'union nationale pour négocier avec les Palestiniens(31). L’occasion pour l’administration américaine d’exercer des pressions sur l’Etat d’Israël afin qu’il accepte encore plus de concessions.
Le président Barack Obama maintient la présence des Etats-Unis à la conférence « Durban II » (Genève, 20-24 avril 2009) dont on craint des débordements antisémites et antiféministes, ainsi qu’une remise en cause de l’universalité des droits de l’homme. [Note de Naibed: Il devra ensuite faire machine arrière, sous la pression politique de ses adversaires]
Barack Obama fut élu sur son programme de rejet total de la doctrine Bush au bénéfice du multilatéralisme. On doit donc s’attendre à ce que l’Amérique entre dans les mêmes processus de concessions et d’apaisements qui transformèrent l’Europe.
Mais il est encore trop tôt pour tirer des pronostics.
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Bonjour, ce qui se passe en Libye démontre la véracité de ces écritures, après avoir chassé Moubarak, ils chassent Kadhafi, outrepassant le mandat du machin onusien.
B. Obama est donc un "islamiste" aussi dangereux que malfaisant et je pèse mes mots. Le "canard enchainé avait publié: l'Amérique n'a pas peur du noir, il faut se méfier de la nuit islamique qui risque de tomber sur le monde libre et qui engendre mort et destruction, l'éternel met les hommes à l'épreuve comme il a déjà fait dans un passé lointain. Le Japon qui est le pays des samouraï ne se laissera jamais infecté par cette peste verte de cela je suis sûr et certain, quand à moi pauvre quidam, mon destin est dans les mains de l'éternel béni soit son nom.
Cordialement.
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