23 mars 2008

Pas d'alternative à la Victoire: la défaite du totalitarisme islamique


" No Substitute for Victory” - The Defeat of Islamic Totalitarianism - By John David Lewis

"Aucun substitut [possible] à la victoire - La défaite du totalitarisme islamique "

“…Atteindre notre objectif exige que nous soyons confiants dans nos positions, certains de nos propre droiture et de notre franchise dans notre attachement à la liberté et à la défense des droits individuels…”

Note de l'auteur : cet article a été adaptée d'un exposé que j'ai présenté à la conférence de l’Ayn Rand Institute's OCON intitulée : «Le djihad contre l'Occident», à Boston, MA, le 21 octobre 2006.

Note de la traductrice : l'organisation de la mise en page, et notamment les titres des chapitres et des paragraphes ont été ajoutés par Naibed, la traductrice.


1. Introduction. De la nature humaine et des facteurs moraux et psychologiques à l'origine des guerres.


  • Résumé : L'historien grec Thucydide, écrivant au sujet de la désastreuse guerre qui a détruit son propre monde, a fait une observation importante sur les causes des événements historiques: même si les circonstances peuvent changer, la nature humaine reste la même, et certains éléments humains - surtout les facteurs moraux et psychologiques - sont à l'origine de toutes les guerres. Se préparer à faire face, et apprendre à connaître ses ennemis est une necessité pour prévenir ou atténuer l'impact d'une guerre.

  • Développements : Pas d'alternative à la Victoire (1)


2. Comment faire face ? Deux options ! La bonne et ...la mauvaise.
  • Résumé :

    L'histoire nous enseigne que c'est une illusion de croire qu'on puisse choisir son ennemi, et encore moins l'appaiser, lorsque ce dernier est un ennemi fanatique totalitaire. Comment les Américains doivent-ils répondre à ce genre d’attaque? Sous la pression d'une urgence meurtrière, les dirigeants américains doivent prendre d'importantes décisions, et le peuple américain doit décider s'il va soutenir ces décisions. L'auteur évalue deux options, et demandons-nous laquelle nous utiliserions.


  • Option N°1 : Offensive militaire tous azimuths, jusqu'à reddition inconditionnelle de l'ennemi.

    Dans cette option, le Président s'adresse au peuple américain, et identifie comme ennemi les nations impliquées. Il demande, et obtient, une déclaration formelle de guerre du Congrès. Il s'engage à atteindre la victoire le plus rapidement possible, un but qu'il définit comme la reddition inconditionnelle des régimes ennemis, et une répudiation fondamentale de l'idéologie fanatique qui a donné lieu à la guerre par les personnes concernées. Il faut que soient éliminée une fois pour toutes l'autorité et l'influence de ceux qui se sont trompés et ont trompé le peuple en se lançant à la conquête du monde. La liberté d'expression, de religion et de pensée, ainsi que le respect des droits fondamentaux de l'homme doivent être mis en place, . . .mais le fanatisme religieux d'état, et le militarisme fanatique n'y ont pas leur place.

    L'ennemi doit annoncer la reddition inconditionnelle de toutes ses forces armées, et de fournir des garanties adéquates de leur bonne foi dans cette action. L'alternative est une rapide et totale destruction.

  • Option N° 2 : option de la "retenue" diplomatique et "semi-militaire".
    Le Président s'adresse à la nation, mais se contente d'identifier l'ennemi comme étant les personnes particulières impliquées dans les attentats, et les définit par la tactique qu'ils utilisent. Il ne fait pas de déclaration de guerre, mais promet de nous conduire à la victoire dans une guerre qu’il a l'intention de mener, qui, dit-il, sera longue. Il définit la victoire comme étant l’instauration de la démocratie pour les nations qui sont derrière les attentats. Une semaine plus tard, il nous rappelle que ceux qui pratiquent la religion des agresseurs « doivent se sentir à l'aise » en Amerique, et multiplie les déclarations visant à dédouanner celle-ci

  • Développements : Pas d'alternative à la Victoire (2)


3. A l'heure des choix.

Résumé :

Maintenant, laquelle de ces deux réponses - l’approche basée sur une offensive militaire tous azimuts et sans pitié ,

ou

l’approche prétendument "pragmatique" et "altruiste" basée sur la retenue diplomatique et semi-militaire


devrions-nous choisir?



Les deux options possibles sont évaluées à l'aune de plusieurs idées largement acceptées aujourd'hui, et qui relèvent d'un faux "altruïsme" (dont le fallacieux concept de "multiculturalisme") et d'un faux "pragmatisme" sur le bien-fondé desquels on reviendra plus tard.


Exemple historique de l' Option 1.

Retour sur l'attaque de Pearl Harbor du 7 décembre 1941.

Le Japon était alors gouverné par une idéologie militariste et religieuse, à la poursuite d'un divin empire, avec des soldats endoctrinés qui ont très tôt utilisé des tactiques de suicide. L'Amérique a alors choisi la réponse offensive la plus impitoyable. Trois ans et huit mois plus tard, les Japonais se sont rendus, leur pays en ruine, et leur peuple affamé. Cinq ans après les attentats, le Japon avait une constitution qui comprenaient ce qui suit (cf. son fameux article 9) : « le peuple japonais renonce à jamais à la guerre comme droit souverain de la nation. . . . Le droit de belligérance de l'État ne sera pas reconnu. »


Exemple historique de l' Option 2.

En contraste parfait, nous avons la deuxième option, la réaction pragmatique, altruiste, militairement limitée, a été l'approche fondamentale de l'administration Bush en réponse aux attentats du 11 septembre 2001.

Cinq ans après, l'auteur fait le bilan des résultats, et celui-ci est implacable : le totalitarisme islamique — l'islam promu au rang d'état, et réglé par la loi islamique — a le vent en poupe . En bref, la seconde approche, dite "pragmatique" et "altruiste" a complètement échoué.

Notre acceptation du soi-disant « pragmatisme », cette politique à courte vue et à courte portée, faite de tâtonnements, d’essais et d'erreurs, qui rejette l'application de principes clairs, ainsi que notre acceptation du soi-disant « altruisme », cette pseudo-morale de l'auto-sacrifice, ne laissait place à aucun autre résultat possible !

Les fausses "bonnes" idées qui ont entraîné la faillite de l'Option 2 .

L'auteur analyse les raisons de cet échec : chacune des idées que nous avons utilisées pour évaluer nos options était erronée. Dans tous les cas, c'est le contraire de cette soi-disant "sagesse conventionnelle" d'aujourd'hui qui est vrai.

L'histoire le démontre clairement : tout usage de la force contre des assassins fanatiques est à la fois pratique et morale. C'est la seule qui est respectueuse du droit des gens, de ceux qui ne sont pas à l'origine de l'utilisation de la force contre les autres : ils ont le droit de se défendre eux-mêmes dans leur propre intérêt, leur intérêt bien compris, parce qu'ils ont le droit de vivre. Pour ce faire, ils doivent envisager leurs ennemis dans le respect de certains principes, de façon intelligement « égoïste ».



4. Pourquoi devons-nous gagner ?
  • Résumé :

    Avant de nous demander comment nous devons gagner, il est important de bien comprendre pourquoi nous devons gagner. Ayn Rand nous aide à le comprendre , dans son essai sur la nature du gouvernement, où il met en évidence une relation vitale entre le droit de l'homme à la vie et son droit à l'auto-défense : La conséquence nécessaire du droit de l'homme à la vie est son droit à l'auto-défense.

    Toute négation de ce principe aboutit au contraire de l’effet escompté : au lieu d'abolir le mal, ce dernier est, au contraire, encouragé et récompensé. Nous sommes moralement dans notre droit, et les totalitaires islamiques incarnent le mal — non seulement dans leurs méthodes, mais, plus fondamentalement, dans leurs valeurs et leurs objectifs.

    La solution est de renoncer à l'apaisement « altruiste » et au compromis pragmatique, de reconnaître notre propre valeur, et de défendre notre vie de plein droit.

    Nous devons
    vaincre ces ennemis, et nous le pouvons.

  • Développements: Pas d'alternative à la Victoire (4)

5. Comment devons-nous gagner ?

  • Résumé : Étant donné que nous devons gagner, comment notre gouvernement doit-il affronter le Totalitarisme islamique? La défaite du Japon en 1945, à condition de ne pas vouloir transposer directement, et telles quelles, cet exemple à la situation actuelle (et notamment sur le plan tactique, où les deux situations ne sont pas comparables) nous fournit un exemple— valide et vital — de précédent historique. Les Japonais étaient motivés par une idéologie religieuse politisée – le shintoïsme – qui imposait un dieu tout-puissant, endoctrinait leurs enfants, infectait chaque aspect de leur culture, et qui les poussait à des actions militaires suicidaires qui ont tué des millions de personnes.
    Le mouvement islamique totalitaire est dévoré par un même feu à la base – une religion extrêmement politisée et autoritariste, centrée sur l’État, remplie d'enseignements destinés à l’endoctrinement financés par celui-ci, un gigantesque culte du suicide, au nom de la divinité et de l'État, et l'espoir d'emporter une bataille décisive sur les américains. La clé pour éteindre cet incendie – la condition sine qua non pour mettre fin à la spirale de l'endoctrinement au djihad, et les attaques suicidaires sur l'Ouest – est de faire ce qui a été fait contre le Japon : briser le pouvoir politique de cette religion d'état.

    L’État islamique – l’état où règne l’islam totalitaire, conforté par la loi islamique, doit être éradiqué.

5.1. Les principes de base d'une politique rationnelle en vue de contrer le totalitarisme islamique sont les mêmes que face au totalitarisme nippon.

Document :

Télégramme du secrétaire d'État James F. Byrnes, transmettant les observations par radio de John Carter Vincent, responsable du Bureau des affaires de l'Extrême-Orient, pour le commandant suprême des puissances alliées au Japon.

De WP Woodard, Les forces alliées d'occupation du Japon 1945-1952 et les religions japonaises. (Leiden: EJ Brill, 1972).

5.2. Comment mettre en oeuvre concrètement ces principes.

D'abord et avant tout frapper au coeur même du totalitarisme islamique. C'est-à-dire : l'Iran.
Il est vital que les américains prennent cette action pour des raisons morales droites, et qui soient clairement exposées. Nous ne devons pas rechercher la légitimité de la suppression de l'État islamique iranien au-delà du principe de notre droit de nous défendre. Prétendre que quelque chose de plus que ce principe est nécessaire serait nier le caractère suffisant de ce principe.

Fonder nos raisons sur une prétendue recherche du bien d'autrui, en particulier sur les prétendus avantages pour toute la population du Moyen-Orient, serait accepter une position de dhimmitude morale : la subordination morale de notre droit à la vie et à l'auto-défense à un soi-disant prétendu principe supérieur. Cela reviendrait à subordonner nos vies à celles des ayatollahs, qui deviendraient nos maîtres.

La faiblesse de la volonté des américains est le plus grand espoir des djihadistes – comme ce fut l'espoir des guerriers japonais – mais c’est une chose qu'ils ne peuvent pas nous imposer. Leur seule prière est que nous puissions l'accepter volontairement. Le prix pour ce faire est notre vie et celle de nos enfants. Nous devons refuser de nous y soumettre !

Ensuite, après l'Iran, démantellement intégral du totalitarisme
islamique

Plus important, en chassant le régime en Iran, l'Amérique enverra au monde entier un message clair et limpide : l'Islam politique, c'est terminé ! Les autres États islamiques et les groupes plus faibles cracheront leur terreur – comme ils l'ont fait brièvement après le 9/11 – et se retireront littéralement dans des trous dans le sol. Les forces antitotalitaires dans le monde seraient enhardies par la perspective de la liberté, et nous aideront progressivement à terminer la besogne.

5.3. Tolérance Zéro à l'égard du totalitarisme islamique

Le télégramme de 1945 – encore une fois, avec l'islam remplaçant le shintoïsme - adresse ces deux points : « L'islam, cependant, dans la mesure où il est dirigée par des gouvernements, et comme une mesure imposée d'en haut par celui-ci, doit être aboli. On ne peut imposer aux gens, de quelque façon que ce soit, de soutenir l'islam, et il n'y aura pas de place pour l'islam dans les écoles. »

Bref, l'islam doit être clairement mis "hors la loi". Ce qui implique l'application drastique des points suivants :

  • Interdiction absolue de tout soutien public à l'islam
  • Interdiction absolue d'enseigner l'islam
  • Interdiction absolue de militer pour l'islam
  • La liberté des médias n'inclut en aucun cas celle de pouvoir soutenir l'islam
  • La fin de la complicité de certains médias occidentaux dans leur soutien à l'islam sera exigée et imposée, et le réveil des véritables intellectuels favorisé.

Note : est-il possible qu’une forme «modérée» d'islam devienne une alternative à cette vision totalitaire du monde qui infecte tant de musulmans ? Peut-être, mais soyons clairs sur ce que cela signifierait.

  • Cela signifierait un islam qui est explicitement séparé du pouvoir politique.
  • Cela signifierait un islam dont les clercs renonceraient à toute tentative visant à
    imposer sa loi par la force ou autrement
  • Cela signifierait un Islam qui (comme le christianisme moderne) est ouvert à la réflexion critique, que les penseurs étudient le Coran comme un ensemble d'histoires, compilées et interprétées par des hommes – et non comme étant LA parole infaillible de Dieu, à propager par l'épée.
  • Cela signifierait un Islam qui permet aux apostats de prendre leurs propres décisions, et qui ne tolère pas les menaces de mort contre eux.
  • Cela signifierait aussi le rejet explicite, par les musulmans de toute notion d'État
    islamique, de droit islamique, et de poursuite du jihad.

De tels musulmans «modérés» devront donc accepter de soutenir activement l'oblitération, la disparition de l'islam totalitaire. Tout le reste [de cet hypothétique islam modéré] doit témoigner de la défaite de cette idéologie empoisonnée, et détruire tout espoir de l'appuyer


6. Une seule solution : la victoire !

  • Résumé :
    6.1. Pas de substitut possible à la victoire.

    Atteindre notre objectif exige que nous soyons confiants dans nos positions, certains de nos propre droiture et de notre franchise dans notre attachement à la liberté et à la défense des droits individuels. Dissimuler la vérité derrière un langage prétendument "prudent" conçu pour dissimuler nos intentions ne serait d'aucune utilité contre une idéologie directive comme l'islam. Nous devons affirmer notre objectif final, ouvertement et clairement: nous devons définir les principes et les moyens d'y parvenir, et nous devons devenir des personnes intègres – des gens qui agissent dans le respect de leurs valeurs et de leurs convictions.

    Il n'y a pas de substitut possible à l'intégrité, et cela signifie qu’il n’y a aucun substitut à [la recherche de] la victoire.


    6.2. Ce que nous devons exiger de l'ennemi : la capitulation complète et inconditionnelle ! Rien de moins !!

S'il est vrai que la majorité des populations du Moyen-Orient veulent une vie décente et libre pour eux-mêmes – comme la toute grande majorité des Japonais le souhaita après août 1945 – alors, ils se réjouiront de l'extirpation des totalitaires islamiques de leurs rangs et apprécieront la liberté de pouvoir prendre leurs propres décisions sur leur propre vie. Ils réagiront comme l’ont fait les japonais – en choisissant un gouvernement constitutionnel qui renonce à la guerre, en purgeant la religion d'état des écoles, en extirpant le militarisme dans les médias, et en construisant des sociétés plutôt que de pratiquer le culte du suicide.

Mais s'ils ne le font pas, la reddition inconditionnelle du totalitarisme islamique doivent être imposée pour signifier sa défaite politique: il n'y aura pas de négociations sur la place de l'islam dans le gouvernement, ou dans l'éducation, ou ailleurs dans la spère publique, car il n'a pas sa place dans de tels endroits.



Conclusion
: Nous pouvons le faire ! les américains, et tous les amoureux de la civilisation doivent bien réaliser une chose : ceci, nous pouvons le faire ! Ce n'est pas un idéal platonicien, bon en théorie, mais irréalisable en pratique. Nous américains, pouvons – et devons – rétablir notre intégrité en ré-unissant nos idéaux et nos actions. L'Histoire est ici de notre côté. En termes relatifs, les forces physiquement présentes face à l'Amérique et ses alliés en 1941 étaient beaucoup plus redoutables que celles auxquelles nous sommes confrontées aujourd'hui.

Mais comme c'était le cas pour l'Allemagne et le Japon dans les années 1930, nous connaissons la même situation aujourd’hui : la puissance des islamistes totalitaires grandit chaque jour. Attendre, à la lumière de ces connaissances, serait irrationnel – criminellement irrationnel.

Nos capacités militaires ne sont pas mises en doute aujourd'hui. C’est notre confiance en soi, notre confiance morale qui est en cause. Considérons le cas japonais et demandez-vous s’il aurait été dans notre intérêt de laisser au pouvoir le régime de 1945, continuant à prêcher un militarisme religieux et la formation de kamikazes.

La meilleure chose que les Américains ont fait pour eux-mêmes (et aussi, accessoirement, pour les japonais) était de clouer ce régime au sol.

Il en est de même aujourd'hui : L'État islamique totalitaire - l'islam totalitaire - doit disparaître. Et il est aujourd'hui de la responsabilité morale de chaque Américain de le demander.



Notes
1 Senjinkun, or the Japanese Field Service Code. Substituting “our deity” for “the Emperor.”In John Dower, Embracing Defeat (New York: Norton, 1999), p. 277.

2 Koran 9.5, 29.

3 The Potsdam Declaration, July 26, 1945, adapted to remove references to Japan, http://www.isop.ucla.edu/eas/documents/potsdam.htm .


4 Remarks at the Islamic Center, Washington, September 17, 2001, http://www.whitehouse.gov/news/releases/2001/09/20010917-11.html .

5 November 19, 2001,
http://archives.cnn.com/2001/US/11/19/rec.bush.ramadan/index.html .

6 Associated Press, “Zilmer: U.S. ‘Stifling’ Iraq Insurgency,” New York Times, September 12, 2006, http://www.nytimes.com/aponline/world/AP-Iraq-Anbar.html?_r=1&oref=slogin .

7 Associated Press, August 31, 2006,
http://www.nytimes.com/aponline/us/AP-Slavery-Charges.html?_r=1&oref=slogin .

8 Quote from Middle East Media Reports Special Dispatch #1285, September 8, 2006, from Al-Jazeera.net, August 21, 2006. Story at “Profile: Abu Bakar Ba’asyir,” BBC News, June 14, 2006, http://news.bbc.co.uk/1/hi/world/asia-pacific/2339693.stm .

9 President Bush may have condoned the visit of Mohammad Khatami, former president of Iran: “WSJ: Bush Personally Signed Off on Khatami Visit to U.S.,” Reuters, September 9, 2006.

10 Ayn Rand, “The Nature of Government,” Capitalism: The Unknown Ideal. (New York: Signet, 1986) p. 331.

11 Dower, Embracing Defeat, pp. 33–34. On the educational rescript and post-1945 reforms, see Takemae Eiji, The Allied Occupation of Japan (New York: Continuum, 2003), pp. 347–371; William P. Woodard, The Allied Occupation of Japan 1945–1952 and Japanese Religions (Leiden: E. J. Brill, 1972), chapter seventeen.

12 Tsurumi Kazuko, cited by Dower, Embracing Defeat, p. 87.

13 Kenneth R. Timmerman, “Saudi Wealth Fuels Global Jihadism,” Insight on the News, Nov. 11, 2003, http://www.freerepublic.com/focus/f-news/1009661/posts . The Middle East Media Report Institute, report of May 7, 2002, has an IQRAA television clip of a young girl, calling Jews “pigs and apes” and a commentator praising her as a “true Muslim,” http://switch5.castup.net/frames/20041020_MemriTV_Popup/video_480x360.asp?ai=214&ar=924wmv&ak=null .

14 Ann Armstrong, Unconditional Surrender (New Brunswick: Rutgers University Press, 1961), pp. 12, 18, emphasis added.

8 commentaires:

BlueKing a dit…

Bravo ! Brillant article, très bien traduit : on sent, dans cette traduction, le Souffle Naibedien !

(et, pour avoir senti ce souffle sur ma nuque, ...je peux dire que je parle d'expérience... :P)

Un seul regret, ma Belle ! : l'article est trop long.

Est-ce devenu le prix à payer : les jeunes (et moins jeunes) occidentaux sont-ils donc devenu si cons, qu'il faille tout leur expliquer en long et en large ? ...leur mâcher jusqu'à la plus petite particule de bon sens ?

Élisa Naibed a dit…

Hélas oui ! je crains que nous ne soyons tombé aussi bas : nos "djeunz" abreuvés de soi-disant «informations» depuis leur plus jeune âge sont d'une naïveté, d'une bêtise, et d'une « mal-comprenure » littéralement terrifiantes. La plupart d'entre eux sont à la fois tellement cons, nuls, subjugués par leurs « sentiments » et leurs « ressentis ! » et – dans le même temps – tellement imbus de leur propre insignifiance, de leur incroyable prétention à « comprendre » le monde - alors qu'ils sont déjà complètement infoutus de comprendre le B.A.-BA de leur propre existence – qu'ils sont devenus tels des primitifs de la télévision , une bande de jeunes « tribaux » urbains complètement acculturés et débiles . Leur tête loin d'être « bien faite » (de jugement, de lucidité, de perspicacité, de courage, etc. ...) n'est souvent que « bien pleine » : bien pleine de bruits, de « ressentis », de bons sentiments et de bêlements « gnangnans » !

Une vraie catastrophe !!!

Anonyme a dit…

Merci de votre passage pour déposer vos nouveaux liens. Ce nouveau dossier me parait très prometteur et je reviendrai l'étudier plus en détails.
Je comprend mieux maintenant votre longue absence :-)

Au passage : une muze.... a mis une réponse à votre dernier post sur le fil Jeune fille kurde lapidée
A vous de jouer ;-)

Anonyme a dit…

Naibed, c'est l'inondation !!!

Tu nous donnes du boulot :-P

Élisa Naibed a dit…

J'ai eu des problèmes avec Wordpress, et je me suis entêtée. Je vous ai envoyé un mail pour demander de supprimer les messages 79 à 91, qui sont tous des essais infructueux, et qui font double emploi avec le message 78.

Ainsi que le message 77, écrit sous le coup de la colère et parti à l'insu de mon plein gré !

Anonyme a dit…

Le ménage est fait.
Nous avons rajouté votre message demandant les suppressions (si vous ne le souhaitez pas, nous le supprimerons).
Une petite mise-au-point a été ajoutée en réponse ;-)

hypemc a dit…

je reviendrai lire ça à tête reposée
merci Naibed
es-tu néerlandophone?
Adamastor

M. Darmon a dit…

Madame, un ami me signale votre existence. Je vous envoie mon lien vers mon blog: sans être jumeau, il y a des voisinages. C'est Ralentir travaux:
http://maurice-darmon.blogspot.com/
On peut en reparler éventuellement, par mail, que vous pourrez retrouver sur le site même, si vous ne l'avez pas directement ci-dessous.
Cordialement. MD